En 2021, 200 défenseurs des terres, des forêts et des ressources en eau ont été tués, selon l’organisation Global Witness. Les trois quarts de ces attaques ont eu lieu en Amérique latine, mais la pression sur les défenseurs de l'environnement s'accroît partout dans le monde. Face à ce constat, les Nations unies ont créé en juin 2022 le premier poste de rapporteur spécial des Nations unies pour les défenseurs de l'environnement au nom de la Convention d'Aarhus. C'est le Français Michel Forst qui a été élu. Après un an d'exercice, il s'inquiète de l'ampleur de la répression qui s'abat contre ceux qui utilisent leurs droits pour dénoncer la dégradation de l'environnement. Quel est son rôle ? Comment faire appel à lui ? Et comment enrayer cette spirale répressive ?  Invité : Michel Forst, rapporteur spécial des Nations unies pour les défenseurs de l'environnement.Pour saisir le rapporteur.Pour en savoir plus.

En 2021, 200 défenseurs des terres, des forêts et des ressources en eau ont été tués, selon l’organisation Global Witness. Les trois quarts de ces attaques ont eu lieu en Amérique latine, mais la pression sur les défenseurs de l'environnement s'accroît partout dans le monde. Face à ce constat, les Nations unies ont créé en juin 2022 le premier poste de rapporteur spécial des Nations unies pour les défenseurs de l'environnement au nom de la Convention d'Aarhus. C'est le Français Michel Forst qui a été élu. Après un an d'exercice, il s'inquiète de l'ampleur de la répression qui s'abat contre ceux qui utilisent leurs droits pour dénoncer la dégradation de l'environnement. Quel est son rôle ? Comment faire appel à lui ? Et comment enrayer cette spirale répressive ?  Invité : Michel Forst, rapporteur spécial des Nations unies pour les défenseurs de l'environnement.<a href="https://spsubmission.ohchr.org/fr" rel="nofollow" target="_blank">Pour saisir le rapporteur</a>.<a href="https://www.ohchr.org/fr/special-procedures/sr-environment" rel="nofollow" target="_blank">Pour en savoir plus</a>.

La répression s'accroît sur les défenseurs de l'environnement, selon le rapporteur de l'ONU

La saison 2023 est exceptionnelle pour les baleines ! Depuis quelques années, elles sont de plus en plus nombreuses à venir se reproduire ou mettre bas au large de cette île de l’océan Indien. C’est une bonne nouvelle car, à l’échelle mondiale, un quart des 90 espèces de mammifères marins sont menacés par les captures de pêche accidentelles, les collisions avec les bateaux toujours plus nombreux, la pollution sonore et le changement climatique. Mais restons sur cette belle image : à La Réunion, c’est l’abondance ! C’est ce que constatent les scientifiques et les 400 bénévoles de l’association Globice.Ce Groupe Local d’Observations et d’Identification des Cétacés photographie, enregistre, cartographie et étudie les mouvements des dauphins, des baleines, des cachalots et des orques qui sillonnent l’océan Indien depuis 2001. Nous vous emmenons faire une sortie d’exploration avec eux. À cette période, nous espérons nous aussi voir des baleines et des dauphins… Jean-Marc Gancille, le responsable de la Communication et du Développement de Globice nous a donné rendez-vous à 8h00 du matin sur le port.Pour en savoir plus sur Globice. La vidéo (Crédit : François Porcheron/RFI)

La saison 2023 est exceptionnelle pour les baleines ! Depuis quelques années, elles sont de plus en plus nombreuses à venir se reproduire ou mettre bas au large de cette île de l’océan Indien. C’est une bonne nouvelle car, à l’échelle mondiale, un quart des 90 espèces de mammifères marins sont menacés par les captures de pêche accidentelles, les collisions avec les bateaux toujours plus nombreux, la pollution sonore et le changement climatique. Mais restons sur cette belle image : à La Réunion, c’est l’abondance ! C’est ce que constatent les scientifiques et les 400 bénévoles de l’association Globice.Ce Groupe Local d’Observations et d’Identification des Cétacés photographie, enregistre, cartographie et étudie les mouvements des dauphins, des baleines, des cachalots et des orques qui sillonnent l’océan Indien depuis 2001. Nous vous emmenons faire une sortie d’exploration avec eux. À cette période, nous espérons nous aussi voir des baleines et des dauphins… Jean-Marc Gancille, le responsable de la Communication et du Développement de Globice nous a donné rendez-vous à 8h00 du matin sur le port.<a href="https://www.globice.org/qui-sommes-nous/" rel="nofollow" target="_blank">Pour en savoir plus sur Globice</a>. <a href="https://youtu.be/_PULNgbl-jU" rel="nofollow" target="_blank">La vidéo</a> (Crédit : François Porcheron/RFI)

À La Réunion, jamais assez de cétacés!

Dans les îles du delta du Saloum, au Sénégal, l'immense majorité des femmes vit de la pêche aux coquillages. Leur ressource principale, l'arche, est collecté depuis des millénaires sur ces rivages d'Afrique de l'Ouest. Mais la ressource décline depuis plus de vingt ans, ce qui met en péril cette pêche artisanale. Ce phénomène est-il dû à la pression de la pêche ou aux conséquences du changement climatique sur l'écosystème fragile de cet estuaire ?  Pour trouver des réponses, des scientifiques français et sénégalais ont mis en place plusieurs programmes de sciences participatives.Un reportage de Virginie de Rocquigny en compagnie de l'écologue Yoann Thomas de l'IRD. Invité : Sylvain Perret, directeur du département Environnements et sociétés du Cirad.

Dans les îles du delta du Saloum, au Sénégal, l'immense majorité des femmes vit de la pêche aux coquillages. Leur ressource principale, l'arche, est collecté depuis des millénaires sur ces rivages d'Afrique de l'Ouest. Mais la ressource décline depuis plus de vingt ans, ce qui met en péril cette pêche artisanale. Ce phénomène est-il dû à la pression de la pêche ou aux conséquences du changement climatique sur l'écosystème fragile de cet estuaire ?  Pour trouver des réponses, des scientifiques français et sénégalais ont mis en place plusieurs programmes de sciences participatives.Un reportage de Virginie de Rocquigny en compagnie de l'écologue Yoann Thomas de l'IRD. Invité : Sylvain Perret, directeur du département Environnements et sociétés du Cirad.

Les sciences participatives, tous acteurs de la science

Ils sont venus du monde entier pour témoigner de leur vision du bien vivre. Pendant trois jours sur le campus universitaire de la ville de Grenoble, des chercheurs, des entreprises, des ONG et des citoyens se sont retrouvés pour dessiner les lignes d'un monde juste et soutenable. Invités : - Célina Whitaker, co-présidente de FAIR, le Forum pour d'autres indicateurs de richesses- Joaquin Dionicio Guzman, président de l'association Sirius au Guatemala- Géraldine Théry, professeur d'Économie à Bruxelles- Method Gundidza, directeur de la Fondation Earthlore qui travaille en Afrique du Sud et au Zimbabwe sur la résurgence des semences traditionnelles - Thomas Borrel, sociétaire de la Coopérative Atelier Paysans - Pegah Moulana, coordinatrice du plaidoyer de Youth Environment Europe - Patrick Viveret, ancien conseiller de la Cour des comptes, philosophe.Avec la participation de Clémentine Métenier.

Ils sont venus du monde entier pour témoigner de leur vision du bien vivre. Pendant trois jours sur le campus universitaire de la ville de Grenoble, des chercheurs, des entreprises, des ONG et des citoyens se sont retrouvés pour dessiner les lignes d'un monde juste et soutenable. Invités : - Célina Whitaker, co-présidente de FAIR, <a href="https://www.idies.org/index.php?category/FAIR" rel="nofollow" target="_blank">le Forum pour d'autres indicateurs de richesses</a>- Joaquin Dionicio Guzman, président de l'association Sirius au Guatemala- Géraldine Théry, professeur d'Économie à Bruxelles- Method Gundidza, directeur de la <a href="http://earthlorefoundation.org/tag/method-gundidza/" rel="nofollow" target="_blank">Fondation Earthlore</a> qui travaille en Afrique du Sud et au Zimbabwe sur la résurgence des semences traditionnelles - Thomas Borrel, sociétaire de <a href="https://www.latelierpaysan.org/" rel="nofollow" target="_blank">la Coopérative Atelier Paysans</a> - Pegah Moulana, coordinatrice du plaidoyer de <a href="https://yeenet.eu/" rel="nofollow" target="_blank">Youth Environment Europe</a> - Patrick Viveret, ancien conseiller de la Cour des comptes, philosophe.Avec la participation de Clémentine Métenier.

Ensemble pour le bien vivre

Pourquoi y a-t-il de moins en moins de poissons dans les filets que ce soit dans le golfe de Guinée ou en Bretagne ? Pour le scientifique Philippe Cury, la réponse est double : nous pêchons trop et nous polluons l’océan avec nos différentes activités. Comment réagir ? Nous vous emmènerons en Martinique, une île qui importe 85% de son poisson frais. Pour remédier à cette dépendance, les Martiniquais développent l’aquaculture, est-ce une bonne solution à l’échelle mondiale ? Invité : - Philippe Cury, directeur de recherche à l'IRD.Reportage : L'aquaculture en Martinique, une solution d'avenir ? Par Igor Strauss, avec le soutien de l'Union européenne.En images

Pourquoi y a-t-il de moins en moins de poissons dans les filets que ce soit dans le golfe de Guinée ou en Bretagne ? Pour le scientifique Philippe Cury, la réponse est double : nous pêchons trop et nous polluons l’océan avec nos différentes activités. Comment réagir ? Nous vous emmènerons en Martinique, une île qui importe 85% de son poisson frais. Pour remédier à cette dépendance, les Martiniquais développent l’aquaculture, est-ce une bonne solution à l’échelle mondiale ? Invité : - Philippe Cury, directeur de recherche à l'IRD.Reportage : L'aquaculture en Martinique, une solution d'avenir ? Par Igor Strauss, avec le soutien de l'Union européenne.En images

Il faut garder la pêche

Après des années de diagnostics scientifiques et de manifestations pour stimuler les décideurs politiques à enrayer le changement climatique, c’est la colère qui s’exprime ! Les actions des défenseurs de l’environnement deviennent plus radicales au sens propre. C’est-à-dire qu’ils s’attaquent directement aux racines du problème que sont les sites industriels polluants ou l’agriculture intensive. Ils ne parlent pas de sabotage mais de « désarmement des infrastructures toxiques » considéré comme « une nécessité vitale face à la catastrophe ». Les pouvoirs publics sont pris de court, l’opinion est divisée. En France, un mouvement fait débat : ce sont Les soulèvements de la Terre. Après une vingtaine d’opérations de destruction, le 21 juin 2023, le gouvernement français a annoncé la dissolution de ce mouvement. Mais est-ce que ce n’est pas un coup d’épée dans une marée humaine vouée inéluctablement à se répandre ? Que dit ce mouvement et ses actions de l’évolution des rapports entre les citoyens et les décideurs politiques face à la dégradation croissante de l’environnement ?Invités : - Christophe Bonneuil, historien des sciences, éditeur de la collection Anthropocène, aux éditions du Seuil et coordinateur du livre On ne dissout pas un soulèvement, 40 voix pour Les soulèvements de la Terre, aux éditions du Seuil- Alessandro Pignocchi, auteur de la bande dessinée La recomposition des mondes, aux éditions du Seuil- Patrick Baudouin, président de la Ligue française des droits de l'homme sur le rapport sur la manifestation de Sainte Soline contre les méga-bassines. 

Après des années de diagnostics scientifiques et de manifestations pour stimuler les décideurs politiques à enrayer le changement climatique, c’est la colère qui s’exprime ! Les actions des défenseurs de l’environnement deviennent plus radicales au sens propre. C’est-à-dire qu’ils s’attaquent directement aux racines du problème que sont les sites industriels polluants ou l’agriculture intensive. Ils ne parlent pas de sabotage mais de « désarmement des infrastructures toxiques » considéré comme « une nécessité vitale face à la catastrophe ». Les pouvoirs publics sont pris de court, l’opinion est divisée. En France, un mouvement fait débat : ce sont Les soulèvements de la Terre. Après une vingtaine d’opérations de destruction, le 21 juin 2023, le gouvernement français a annoncé la dissolution de ce mouvement. Mais est-ce que ce n’est pas un coup d’épée dans une marée humaine vouée inéluctablement à se répandre ? Que dit ce mouvement et ses actions de l’évolution des rapports entre les citoyens et les décideurs politiques face à la dégradation croissante de l’environnement ?Invités : - Christophe Bonneuil, historien des sciences, éditeur de la collection Anthropocène, aux éditions du Seuil et coordinateur du livre On ne dissout pas un soulèvement, 40 voix pour Les soulèvements de la Terre, aux éditions du Seuil- Alessandro Pignocchi, auteur de la bande dessinée La recomposition des mondes, aux éditions du Seuil- Patrick Baudouin, président de la Ligue française des droits de l'homme sur <a href="https://www.ldh-france.org/empecher-lacces-a-la-bassine-quel-quen-soit-le-cout-humain-2/" rel="nofollow" target="_blank">le rapport sur la manifestation de Sainte Soline contre les méga-bassines</a>.

Les soulèvements de la Terre

Les résultats du concours ePOP 2023 sont publiés ! Plus de 500 films de 40 pays dans 67 langues locales ont été visionnés. Les vidéastes amateurs sont toujours plus nombreux et motivés pour documenter le ressenti des populations face à la dégradation de leur environnement. Invités : - Max Bâle, créateur du réseau ePOP en partenariat avec l'IRD - Kadiatou Cis Camara, lauréate du prix de la jeune réalisatrice pour son film « Quartier en fumée » tourné en Guinée - Moctar Diallo Camara, pour son film « Survivre parmi les déchets » tourné en Guinée. Au Québec, des citoyens se mobilisent pour protéger des hectares de forêts à perpétuité contre la disparition de la biodiversité et l'artificialisation des sols. C'est un reportage de Pascale Guéricolas. Pour en savoir plus : Corridor Appalachien.

Les résultats du concours ePOP 2023 sont publiés ! Plus de 500 films de 40 pays dans 67 langues locales ont été visionnés. Les vidéastes amateurs sont toujours plus nombreux et motivés pour documenter le ressenti des populations face à la dégradation de leur environnement. Invités : - Max Bâle, créateur du <a href="https://epop.network/fr/" rel="nofollow" target="_blank">réseau ePOP</a> en partenariat avec l'IRD - Kadiatou Cis Camara, lauréate du prix de la jeune réalisatrice pour son film « <a href="https://vimeo.com/835693910" rel="nofollow" target="_blank">Quartier en fumée</a> » tourné en Guinée - Moctar Diallo Camara, pour son film « <a href="https://vimeo.com/835695180" rel="nofollow" target="_blank">Survivre parmi les déchets</a> » tourné en Guinée. Au Québec, des citoyens se mobilisent pour protéger des hectares de forêts à perpétuité contre la disparition de la biodiversité et l'artificialisation des sols. C'est un reportage de Pascale Guéricolas. Pour en savoir plus : <a href="https://www.corridorappalachien.ca/ " rel="nofollow" target="_blank">Corridor Appalachien</a>.

En vidéo ou en forêts, la mobilisation citoyenne s'organise

L’océan qui recouvre plus des deux tiers de notre planète est à l'origine de la vie sur Terre, il est la source de l’eau douce que nous buvons et de la moitié de l'oxygène que nous respirons. Il influence le climat et la météo mais ces équilibres sont aujourd'hui bouleversés par les activités humaines. Le changement climatique fait fondre la banquise de l'Arctique plus vite que prévu, sa biodiversité encore méconnue est explorée mais aussi surexploitée dans de nombreuses parties du monde alors que nous nous apprêtons à développer l'exploitation minière dans les grands fonds marins. 

L’océan qui recouvre plus des deux tiers de notre planète est à l'origine de la vie sur Terre, il est la source de l’eau douce que nous buvons et de la moitié de l'oxygène que nous respirons. Il influence le climat et la météo mais ces équilibres sont aujourd'hui bouleversés par les activités humaines. Le changement climatique fait fondre la banquise de l'Arctique plus vite que prévu, sa biodiversité encore méconnue est explorée mais aussi surexploitée dans de nombreuses parties du monde alors que nous nous apprêtons à développer l'exploitation minière dans les grands fonds marins.

Un océan, des milliers de mondes

La peur du noir incite les pouvoirs publics qui en ont les moyens à tout éclairer la nuit à tel point que nous sommes en train de modifier un rythme qui date de la naissance de la Terre. Depuis 4,5 milliards d’années la nuit succède au jour et chaque cellule de chaque organisme vivant est programmé pour fonctionner en harmonie avec ce rythme. L’ampleur et les impacts de cette pollution lumineuse sont encore peu connus mais c’est un domaine de recherche en plein développement et il est urgent de s’en occuper.  Invité : Johan Eklöf, chercheur en Zoologie à l’Université de Stockholm, auteur de Osons la nuit, manifeste contre la pollution lumineuse chez Tana éditions.Reportage en France dans le Parc National des Cévennes qui est le second site français après le Pic du Midi dans les Pyrénées à avoir obtenu le label RICE, « Réserve internationale de ciel étoilé ». Il est aujourd’hui la plus grande réserve d'Europe pour la qualité de son ciel et la richesse de sa faune. C'est un reportage de Samuel Turpin.

La peur du noir incite les pouvoirs publics qui en ont les moyens à tout éclairer la nuit à tel point que nous sommes en train de modifier un rythme qui date de la naissance de la Terre. Depuis 4,5 milliards d’années la nuit succède au jour et chaque cellule de chaque organisme vivant est programmé pour fonctionner en harmonie avec ce rythme. L’ampleur et les impacts de cette pollution lumineuse sont encore peu connus mais c’est un domaine de recherche en plein développement et il est urgent de s’en occuper. Invité : Johan Eklöf, chercheur en Zoologie à l’Université de Stockholm, auteur de Osons la nuit, manifeste contre la pollution lumineuse chez Tana éditions.Reportage en France dans le Parc National des Cévennes qui est le second site français après le Pic du Midi dans les Pyrénées à avoir obtenu le label RICE, « Réserve internationale de ciel étoilé ». Il est aujourd’hui la plus grande réserve d'Europe pour la qualité de son ciel et la richesse de sa faune. C'est un reportage de Samuel Turpin.

Dis Papa, c'était comment la nuit?

Les tortues marines sont présentes dans l’océan depuis plus de 150 millions d’années, elles ont côtoyé les dinosaures et surmonté toutes les crises climatologiques. Mais le braconnage pour leur viande ou leur carapace et la pollution notamment le plastique ont pour conséquences un triste bilan : les sept espèces sont toutes vulnérables ou menacées de disparition. Heureusement, une législation internationale sévère et de multiples initiatives à travers le monde participent à leur préservation. Nous vous emmenons visiter Kélonia à l'ouest de l'île de La Réunion. Depuis 2006, c'est un lieu pédagogique, un observatoire et un centre de soins pour les tortues marines de l'océan Indien. Visite guidée avec son dynamique fondateur Stéphane Ciccione.Pour en savoir plus : Kélonia, l'observatoire des tortues marines

Les tortues marines sont présentes dans l’océan depuis plus de 150 millions d’années, elles ont côtoyé les dinosaures et surmonté toutes les crises climatologiques. Mais le braconnage pour leur viande ou leur carapace et la pollution notamment le plastique ont pour conséquences un triste bilan : les sept espèces sont toutes vulnérables ou menacées de disparition. Heureusement, une législation internationale sévère et de multiples initiatives à travers le monde participent à leur préservation. Nous vous emmenons visiter Kélonia à l'ouest de l'île de La Réunion. Depuis 2006, c'est un lieu pédagogique, un observatoire et un centre de soins pour les tortues marines de l'océan Indien. Visite guidée avec son dynamique fondateur Stéphane Ciccione.Pour en savoir plus : <a href="https://museesreunion.fr/kelonia/" rel="nofollow" target="_blank">Kélonia, l'observatoire des tortues marines</a>

Allo docteur, c'est pour une tortue marine

Jamais une espèce vivante n'a eu sur la Terre autant d'impact que l'Homme, pourtant nous n'avons qu’une planète. Aujourd’hui, le monde prend conscience que nos modes de développement ne sont pas durables et que nous allons devoir profondément changer notre rapport à la nature pour préserver la vie sur terre. Anne-Cécile Bras vous propose de rendre compte de cette actualité sur tous les continents, pour décrypter les avancées ou les reculs de nos actions face à notre environnement en devenir. Une émission réalisée par François Porcheron. 

Le corail est à l’océan ce que les forêts sont aux continents sauf qu’à La Réunion comme dans de nombreuses parties du monde, il est très abîmé. C’est inquiétant car les coraux, qui ne couvrent que 0,2% de la surface de l’océan, abritent un tiers de la biodiversité marine. Il est donc urgent de réagir et c’est l’objectif du projet PAREO initié par Pascale Chabanet de l'IRD. Un projet d’éducation à l’environnement pour la protection des récifs coralliens dans l’océan Indien. Les enfants formés par des scientifiques explorent le lagon et réalisent des œuvres d'art avec l'aide d'artistes pour sensibiliser leur entourage. Cela donne des résultats impressionnants comme vous allez pouvoir le constater dans cette émission.  Pour en savoir plus : le projet PAREO.Avec le soutien de l'Union européenne.

Le corail est à l’océan ce que les forêts sont aux continents sauf qu’à La Réunion comme dans de nombreuses parties du monde, il est très abîmé. C’est inquiétant car les coraux, qui ne couvrent que 0,2% de la surface de l’océan, abritent un tiers de la biodiversité marine. Il est donc urgent de réagir et c’est l’objectif du projet PAREO initié par Pascale Chabanet de l'IRD. Un projet d’éducation à l’environnement pour la protection des récifs coralliens dans l’océan Indien. Les enfants formés par des scientifiques explorent le lagon et réalisent des œuvres d'art avec l'aide d'artistes pour sensibiliser leur entourage. Cela donne des résultats impressionnants comme vous allez pouvoir le constater dans cette émission.  Pour en savoir plus : <a href="http://pareo.re/" rel="nofollow" target="_blank">le projet PAREO</a>.Avec le soutien de l'Union européenne.

Quand les enfants deviennent les ambassadeurs des récifs coralliens de l'océan Indien

80% de l’alimentation mondiale repose sur une vingtaine d’espèces agricoles. Or, face aux défis écologiques, il faut miser sur l’autonomie alimentaire. Les dirigeants de l'île de La Réunion l’ont bien compris puisqu’ils ont voté un plan pour l’autonomie alimentaire d’ici 2030. Cela passe par la redécouverte des légumes et des fruits oubliés et par la conservation de la diversité génétique de ces variétés. C'est le travail mené sur l'île par les scientifiques du CIRAD au sein du Centre de ressources biologiques Vatel et dans les laboratoires de l'Agrocampus du Pôle de protection des plantes de Saint-Pierre. Nous vous emmenons dans les coulisses de votre assiette ! Pour en savoir plus : - Sur le Centre de ressources biologiques Vatel du CIRAD - Sur le Pôle de protection des plantes du CIRAD - Sur l'association Germin'acteurs.

80% de l’alimentation mondiale repose sur une vingtaine d’espèces agricoles. Or, face aux défis écologiques, il faut miser sur l’autonomie alimentaire. Les dirigeants de l'île de La Réunion l’ont bien compris puisqu’ils ont voté un plan pour l’autonomie alimentaire d’ici 2030. Cela passe par la redécouverte des légumes et des fruits oubliés et par la conservation de la diversité génétique de ces variétés. C'est le travail mené sur l'île par les scientifiques du CIRAD au sein du Centre de ressources biologiques Vatel et dans les laboratoires de l'Agrocampus du Pôle de protection des plantes de Saint-Pierre. Nous vous emmenons dans les coulisses de votre assiette ! Pour en savoir plus : - <a href="https://umr-pvbmt.cirad.fr/ressources/ressources-biologiques/centre-de-ressources-biologiques-vatel" rel="nofollow" target="_blank">Sur le Centre de ressources biologiques Vatel du CIRAD</a> - <a href="https://www.cirad.fr/dans-le-monde/nos-directions-regionales/reunion-mayotte-et-ocean-indien/pole-3p" rel="nofollow" target="_blank">Sur le </a><a href="https://www.cirad.fr/dans-le-monde/nos-directions-regionales/reunion-mayotte-et-ocean-indien/pole-3p" rel="nofollow" target="_blank">Pôle de protection des plantes du CIRAD</a> - <a href="https://www.facebook.com/profile.php?id=100070176282827" rel="nofollow" target="_blank">Sur l'association Germin'acteurs</a>.

À La Réunion, on cultive les variétés d'hier pour se nourrir demain

Nous ne pouvons plus faire comme si nous ne savions pas que le climat de notre planète se réchauffe, que les ressources naturelles s’épuisent et que le vivant disparaît à une vitesse jamais égalée. Cela implique des questions que nous aimerions éviter mais qui s’imposent : à quoi allons-nous devoir renoncer ? Quelles infrastructures va-t-il falloir démanteler ? Dans quels secteurs de l’économie faut-il désinvestir ? Il va falloir accepter que des pans entiers de nos économies, surtout dans le monde occidental, sont obsolètes au regard du monde qui vient. Pour que cela se passe de la manière la moins conflictuelle possible, il faut anticiper. C’est le travail des chercheurs du Laboratoire Origens Media Lab basé à Clermont-Ferrand, dans le centre de la France, qui est de plus en plus sollicité par des collectivités locales et des entreprises. Pour en savoir plus : Le Laboratoire Origens Media Lab.

Nous ne pouvons plus faire comme si nous ne savions pas que le climat de notre planète se réchauffe, que les ressources naturelles s’épuisent et que le vivant disparaît à une vitesse jamais égalée. Cela implique des questions que nous aimerions éviter mais qui s’imposent : à quoi allons-nous devoir renoncer ? Quelles infrastructures va-t-il falloir démanteler ? Dans quels secteurs de l’économie faut-il désinvestir ? Il va falloir accepter que des pans entiers de nos économies, surtout dans le monde occidental, sont obsolètes au regard du monde qui vient. Pour que cela se passe de la manière la moins conflictuelle possible, il faut anticiper. C’est le travail des chercheurs du <a href="https://origensmedialab.org/" rel="nofollow" target="_blank">Laboratoire Origens Media Lab</a> basé à Clermont-Ferrand, dans le centre de la France, qui est de plus en plus sollicité par des collectivités locales et des entreprises. Pour en savoir plus : <a href="https://origensmedialab.org/" rel="nofollow" target="_blank">Le Laboratoire Origens Media Lab</a>.

Redirection toute!

Après l’Indonésie et les Philippines, le Vietnam est le troisième pays le plus peuplé d’Asie du Sud-Est. Ces 100 millions d’habitants, dont les deux-tiers sont des paysans qui souffrent des conséquences du changement climatique. Un phénomène qui va s’amplifier dans cette région touchée, chaque année, par des inondations et des tempêtes tropicales. Pierre Lefevre nous emmènera découvrir le travail de l’Association Development Workshop France qui aide la population à anticiper ces risques, depuis une quinzaine d’années.Nous irons aussi dans un endroit qui, comme de nombreuses autres parties du pays, a tout misé sur le tourisme : la baie d’Along et ses magnifiques pains de sucre. C’est l’un des paysages les plus connus d’Asie qui se retrouve désormais menacé par une pollution croissante. 

Après l’Indonésie et les Philippines, le Vietnam est le troisième pays le plus peuplé d’Asie du Sud-Est. Ces 100 millions d’habitants, dont les deux-tiers sont des paysans qui souffrent des conséquences du changement climatique. Un phénomène qui va s’amplifier dans cette région touchée, chaque année, par des inondations et des tempêtes tropicales. Pierre Lefevre nous emmènera découvrir le travail de <a href="https://www.dwf.org/fr/francais/organisation" rel="nofollow" target="_blank">l’Association Development Workshop France</a> qui aide la population à anticiper ces risques, depuis une quinzaine d’années.Nous irons aussi dans un endroit qui, comme de nombreuses autres parties du pays, a tout misé sur le tourisme : la baie d’Along et ses magnifiques pains de sucre. C’est l’un des paysages les plus connus d’Asie qui se retrouve désormais menacé par une pollution croissante.

Le Vietnam face aux limites planétaires

Avant nous ne savions pas, aujourd’hui nous ne pouvons plus faire semblant d’ignorer que viser une croissance économique infinie sur une planète aux ressources naturelles limitées est une aberration. Mais comment faire ? Produire sans détruire, est-ce possible ? La réponse est oui avec la boîte à outils de l'écolonomie présentée lors de la troisième édition des Rencontres de l'Écolonomie qui se sont déroulées au sein de l'entreprise Pochéco près de Lille, dans le nord de la France. Invités : - Elodie Bia, co-fondatrice du bureau Ouvert, le laboratoire de l'écolonomie - Kalina Raskin, ingénieur physico-chimiste et Docteur en biologie, directrice du CEEBIOS, un centre d’études et d’expertise en biomimétisme - Marie-Odile Simonnot, directrice du Laboratoire Réactions et Génie des Procédés, UMR 7274 Université de Lorraine - CNRS - Emmanuel Torquebiau, chercheur émérite au CIRAD, auteur de Le livre de l’agroforesterie, comment les arbres peuvent sauver l’agriculture chez Actes Sud.

Avant nous ne savions pas, aujourd’hui nous ne pouvons plus faire semblant d’ignorer que viser une croissance économique infinie sur une planète aux ressources naturelles limitées est une aberration. Mais comment faire ? Produire sans détruire, est-ce possible ? La réponse est oui avec la boîte à outils de l'écolonomie présentée lors de la troisième édition des Rencontres de l'Écolonomie qui se sont déroulées au sein de l'entreprise Pochéco près de Lille, dans le nord de la France. Invités : - Elodie Bia, co-fondatrice du <a href="https://ouvert.eu/" rel="nofollow" target="_blank">bureau Ouvert</a>, le laboratoire de l'écolonomie - Kalina Raskin, ingénieur physico-chimiste et Docteur en biologie, directrice du <a href="https://ceebios.com/" rel="nofollow" target="_blank">CEEBIOS</a>, un centre d’études et d’expertise en biomimétisme - Marie-Odile Simonnot, directrice du Laboratoire Réactions et Génie des Procédés, <a href="https://lrgp-nancy.cnrs.fr/" rel="nofollow" target="_blank">UMR 7274 Université de Lorraine - CNRS</a> - Emmanuel Torquebiau, chercheur émérite au CIRAD, auteur de Le livre de l’agroforesterie, comment les arbres peuvent sauver l’agriculture chez Actes Sud.

Produire sans détruire avec la boîte à outils de l'écolonomie

Depuis 25 ans, l'entreprise Pochéco fabrique des enveloppes près de Lille, dans le nord de la France, avec une logique « produire sans détruire ». Son président Emmanuel Druon s'évertue à appliquer au quotidien le concept d'Écolonomie qu'il a inventé. Pour partager cette expérience, l'entreprise a créé un bureau de conseil qui a essaimé dans plus de 250 entreprises dans une dizaine de pays et elle organise, chaque année, Les Rencontres de l'écolonomie ouvertes à tous. Mais comment changer d'échelle ?  Invités : - Emmanuel Druon, président de Pochéco - François Sarano, océanographe, plongeur  - Gilles Bœuf, biologiste, président du CEEBIOS, ancien président du Muséum d’Histoire Naturelle, président du Conseil scientifique de l’Agence Française pour la Biodiversité- Olivier Hamant, biologiste, directeur de l’Institut Michel Serres et directeur de recherche à l’INRAE.   

Depuis 25 ans, l'entreprise Pochéco fabrique des enveloppes près de Lille, dans le nord de la France, avec une logique « produire sans détruire ». Son président Emmanuel Druon s'évertue à appliquer au quotidien le concept d'Écolonomie qu'il a inventé. Pour partager cette expérience, l'entreprise a créé un bureau de conseil qui a essaimé dans plus de 250 entreprises dans une dizaine de pays et elle organise, chaque année, Les Rencontres de l'écolonomie ouvertes à tous. Mais comment changer d'échelle ?  Invités : - Emmanuel Druon, président de <a href="https://les-formations-pocheco.com/index.php/rencontres-de-lecolonomie-2023/" rel="nofollow" target="_blank">Pochéco</a> - <a href="https://www.longitude181.org/?doing_wp_cron=1686073418.0148119926452636718750" rel="nofollow" target="_blank">François Sarano</a>, océanographe, plongeur  - Gilles Bœuf, biologiste, président du CEEBIOS, ancien président du Muséum d’Histoire Naturelle, président du Conseil scientifique de l’Agence Française pour la Biodiversité- Olivier Hamant, biologiste, directeur de <a href="http://institutmichelserres.ens-lyon.fr/" rel="nofollow" target="_blank">l’Institut Michel Serres</a> et directeur de recherche à l’INRAE.

Les Rencontres de l'écolonomie appellent à une mobilisation collective

Le développement du tourisme de masse dans les années 80 s'est souvent fait au détriment de la protection du vivant, avec la construction d'infrastructures inadaptées aux conséquences du changement climatique. Les sécheresses, les inondations et les événements extrêmes qui vont se multiplier rendent, par exemple, la gestion de l'eau cruciale. Comment concilier un développement économique basé sur le tourisme, la préservation du milieu naturel et la sécurité des habitants ? Invitée : Sylvie Clarimont, géographe, professeure à l'Université de Pau et des Pays de l’Adour, responsable du Master Tourisme, chercheuse au Laboratoire TREE (Transitions énergétiques et environnementales), UMR 6031 CNRS / UPPA.Reportage sur l'île de Madère qui accueille, chaque année, plus de 1,5 million de touristes. L’année 2010 fut dévastatrice pour l’île et ses habitants : des inondations ont fait 51 morts, 600 personnes ont perdu leur logement et plus d’un milliard d’euros de dégâts ont été chiffrés. Ce scénario pourrait se répéter à l’avenir sous les effets du dérèglement climatique. La ville repense maintenant son habitat, en misant sur des protections naturelles et en sensibilisant sa population aux risques. C’est un reportage de Samuel Turpin en compagnie de Helder Spinola, biologiste engagé dans la préservation de l’île. 

Le développement du tourisme de masse dans les années 80 s'est souvent fait au détriment de la protection du vivant, avec la construction d'infrastructures inadaptées aux conséquences du changement climatique. Les sécheresses, les inondations et les événements extrêmes qui vont se multiplier rendent, par exemple, la gestion de l'eau cruciale. Comment concilier un développement économique basé sur le tourisme, la préservation du milieu naturel et la sécurité des habitants ? Invitée : Sylvie Clarimont, géographe, professeure à l'Université de Pau et des Pays de l’Adour, responsable du Master Tourisme, chercheuse au Laboratoire TREE (Transitions énergétiques et environnementales), UMR 6031 CNRS / UPPA.Reportage sur l'île de Madère qui accueille, chaque année, plus de 1,5 million de touristes. L’année 2010 fut dévastatrice pour l’île et ses habitants : des inondations ont fait 51 morts, 600 personnes ont perdu leur logement et plus d’un milliard d’euros de dégâts ont été chiffrés. Ce scénario pourrait se répéter à l’avenir sous les effets du dérèglement climatique. La ville repense maintenant son habitat, en misant sur des protections naturelles et en sensibilisant sa population aux risques. C’est un reportage de Samuel Turpin en compagnie de Helder Spinola, biologiste engagé dans la préservation de l’île.

Tourisme et adaptation au changement climatique, comment distinguer l'utile du futile

Une émission enregistrée à l'Unesco. Le plastique, c’est pratique mais sa pollution est dramatique ! Chaque année, 460 millions de tonnes de plastiques sont produites, une production qui devrait tripler d’ici 2050. Pour tenter d’enrayer ce fléau, 175 pays sont réunis depuis lundi (29 mai 2023) à Paris au siège de l’Unesco pour s’entendre sur un traité contre la pollution plastique à l’échelle mondiale.  Invités : - Llorenç Mila, chef du secrétariat de l’initiative cycle de vie au sein du PNUE - Thomas Brunel, chargé de négociation sur le traité mondial contre la pollution plastique au sein du Ministère français de la transition écologique et de la cohésion des territoires- John Ciza de la République Démocratique du Congo, coordonnateur national du Front Commun pour la Protection de l'Environnement et des Espaces Protégés, une Organisation membre de la coalition mondiale pour la lutte contre la pollution plastique - Nathalie Van den Broeck, vice-présidente de la Fondation Surfrider Europe et co-auteure d’un avis du Cese sur le traité mondial  - Josselin Blérioten charge des relations internationales et institutionnelles de la Fondation Ellen Mac Arthur.

Une émission enregistrée à l'Unesco. Le plastique, c’est pratique mais sa pollution est dramatique ! Chaque année, 460 millions de tonnes de plastiques sont produites, une production qui devrait tripler d’ici 2050. Pour tenter d’enrayer ce fléau, 175 pays sont réunis depuis lundi (29 mai 2023) à Paris au siège de l’Unesco pour s’entendre sur un traité contre la pollution plastique à l’échelle mondiale. Invités : - Llorenç Mila, chef du secrétariat de <a href="https://www.unep.org/fr/explore-topics/resource-efficiency/what-we-do/initiative-cycle-de-vie" rel="nofollow" target="_blank">l’initiative cycle de vie au sein du PNUE</a> - Thomas Brunel, chargé de négociation sur <a href="https://www.ecologie.gouv.fr/lutte-contre-pollution-plastique" rel="nofollow" target="_blank">le traité mondial contre la pollution plastique</a> au sein du Ministère français de la transition écologique et de la cohésion des territoires- John Ciza de la République Démocratique du Congo, coordonnateur national du Front Commun pour la Protection de l'Environnement et des Espaces Protégés, une <a href="https://www.no-burn.org/fr/" rel="nofollow" target="_blank">Organisation membre de la coalition mondiale pour la lutte contre la pollution plastique</a> - Nathalie Van den Broeck, vice-présidente de la <a href="https://surfrider.eu/nos-missions/dechets-aquatiques/plastic-origins-70172.html" rel="nofollow" target="_blank">Fondation Surfrider Europe</a> et co-auteure d’un avis du Cese sur le traité mondial  - Josselin Blérioten charge des relations internationales et institutionnelles de <a href="https://www.businessforplasticstreaty.org/" rel="nofollow" target="_blank">l</a><a href="https://www.businessforplasticstreaty.org/" rel="nofollow" target="_blank">a Fondation Ellen Mac Arthur</a>.

Vers un traité mondial pour lutter contre la pollution plastique

138 milliards de dollars, voilà ce que pesait le marché mondial du cacao en 2022. Un marché emblématique de notre économie mondialisée : 5 millions de petits producteurs, essentiellement en Afrique, travaillent pour une douzaine de multinationales. Les deux-tiers de la production viennent d’Afrique de l’Ouest, essentiellement de la Côte d’Ivoire et du Ghana. La demande ne cesse d’augmenter, mais l’essentiel des cacaoculteurs vivent, eux, sous le seuil de pauvreté. La culture du cacao a aussi un fort impact sur l’environnement : déforestation et pollution à cause de l'usage d'engrais et pesticides chimiques. De plus en plus de voix s'élèvent contre cette situation.  Invités : - Samy Manga, écrivain camerounais, auteur de Chocolaté, le goût amer de la culture du cacao, aux éditions Écosociété- François Ruf, chercheur économiste au CIRAD depuis Abidjan. Spécialiste du cacao- Julie Stoll, déléguée générale chez Commerce équitable France - Abdel El Baïz, chocolatier, cofondateur du collectif Les chocolatiers engagés.

138 milliards de dollars, voilà ce que pesait le marché mondial du cacao en 2022. Un marché emblématique de notre économie mondialisée : 5 millions de petits producteurs, essentiellement en Afrique, travaillent pour une douzaine de multinationales. Les deux-tiers de la production viennent d’Afrique de l’Ouest, essentiellement de la Côte d’Ivoire et du Ghana. La demande ne cesse d’augmenter, mais l’essentiel des cacaoculteurs vivent, eux, sous le seuil de pauvreté. La culture du cacao a aussi un fort impact sur l’environnement : déforestation et pollution à cause de l'usage d'engrais et pesticides chimiques. De plus en plus de voix s'élèvent contre cette situation.  Invités : - Samy Manga, écrivain camerounais, auteur de Chocolaté, le goût amer de la culture du cacao, aux éditions Écosociété- François Ruf, chercheur économiste au CIRAD depuis Abidjan. Spécialiste du cacao- Julie Stoll, déléguée générale chez <a href="https://www.commercequitable.org/" rel="nofollow" target="_blank">Commerce équitable France </a>- Abdel El Baïz, chocolatier, cofondateur du <a href="https://www.chocolatiers-engages.com/" rel="nofollow" target="_blank">collectif </a><a href="https://www.chocolatiers-engages.com/" rel="nofollow" target="_blank">Les chocolatiers engagés</a>.

Le goût amer du cacao

Au coeur du Mozambique, le parc de Gorongosa le plus riche et le plus diversifié d’Afrique australe a été anéanti par dix-sept années de guerre civile. Depuis 2004, grâce à l'implication du philanthrope Greg Carr et à l'implication de ses équipes, le parc renaît de ses cendres. La biodiversité est revenue et les populations qui vivent autour du parc la protège car ils en dépendent. Une belle histoire qui fait rêver ceux qui travaillent et habitent autour du plus ancien des parcs africains. Le parc des Virunga dans l’est de la République Démocratique du Congo qui lui est en train de sombrer au cœur d’un conflit dont il ne maîtrise aucune carte.  Invités : - Bernadette Gilbertas et Olivier Grunewald pour leur documentaire Gorongosa, le parc de la réconciliation - Alain Mukiranya, le directeur du programme Gorilla's ambassadors dans le parc des Virunga. 

Au coeur du Mozambique, le parc de Gorongosa le plus riche et le plus diversifié d’Afrique australe a été anéanti par dix-sept années de guerre civile. Depuis 2004, grâce à l'implication du philanthrope Greg Carr et à l'implication de ses équipes, le parc renaît de ses cendres. La biodiversité est revenue et les populations qui vivent autour du parc la protège car ils en dépendent. Une belle histoire qui fait rêver ceux qui travaillent et habitent autour du plus ancien des parcs africains. Le parc des Virunga dans l’est de la République Démocratique du Congo qui lui est en train de sombrer au cœur d’un conflit dont il ne maîtrise aucune carte. Invités : - Bernadette Gilbertas et Olivier Grunewald pour leur documentaire <a href="https://www.dailymotion.com/video/x8kycfd" rel="nofollow" target="_blank">Gorongosa, le parc de la réconciliation</a> - Alain Mukiranya, le directeur du <a href="https://www.facebook.com/gorillaambassadors/?locale=sq_AL" rel="nofollow" target="_blank">programme Gorilla's ambassadors</a> dans le parc des Virunga.

Le parc de Gorongosa renaît, celui des Virunga se meurt

Jamais une espèce vivante n'a eu sur la Terre autant d'impact que l'Homme, pourtant nous n'avons qu’une planète. Aujourd’hui, le monde prend conscience que nos modes de développement ne sont pas durables et que nous allons devoir profondément changer notre rapport à la nature pour préserver la vie sur terre. Anne-Cécile Bras vous propose de rendre compte de cette actualité sur tous les continents, pour décrypter les avancées ou les reculs de nos actions face à notre environnement en devenir. Une émission réalisée par François Porcheron.

C'est pas du vent

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