Geschützte geografische Angaben (kurz g.g.A.) sollen die Top-Erzeugnisse der europäischen Landwirtschaft identifizieren und schützen. Diese europäischen Auszeichnungen werten das einzigartige Erbe an Lebensmitteln unseres Kontinents auf, indem eine Verbindung mit dem traditionellen Anbaugebiet geschaffen wird. Geschützte geografische Angaben bieten so den Landwirten, Erzeugern und Gemeinden Entwicklungsmöglichkeiten und garantieren dem Verbraucher Qualität.

17. #Geschützte geografische Angaben: ein Gütesiegel für Identität und Qualität

Protected geographical indications are the jewel in the crown of Europe’s agriculture. The European Union’s system of geographical indications for our continent’s unique heritage of food and drink affords legal protection to certain quality products that demonstrate a traditional link to a territory.

17. #Geographical indications: value throughout the EU food system

Les indications géographiques protégées (IGP) ont vocation à identifier et protéger les fleurons de l'agriculture européenne. Ces distinctions européennes valorisent le patrimoine alimentaire de notre continent en l’ancrant dans les territoires, créant ainsi des opportunités de développement pour les agriculteurs concernés et leurs communautés. Les IGP sont aussi un gage de qualité pour les consommateurs.

17. #IGP : Quand agriculture rime avec identité et qualité

Russia's invasion of Ukraine highlighted the dependence of European agriculture on both countries. Before February 24, the European Union imported 30% of the nitrogen fertilizers it uses for its crops from Russia. As for Ukraine, it delivered 30% of the sunflower meal and 9% of the corn intended for our livestock.Soaring energy, fertilizer and feed prices for conventional farms and the risk of shortages: just some of the impacts the geopolitical shock in Ukraine will have on our agriculture. Is our food security threatened? What will happen to the EU's objective of transitioning towards a more sustainable European agriculture? The 16th episode of Food for Europe gives voice to farmers, takes stock of the situation on agricultural markets and looks at the support measures announced by the European Commission, as well as the fears of environmental activists.

Russia's invasion of Ukraine highlighted the dependence of European agriculture on both countries. Before February 24, the European Union imported 30% of the nitrogen fertilizers it uses for its crops from Russia. As for Ukraine, it delivered 30% of the sunflower meal and 9% of the corn intended for our livestock. Soaring energy, fertilizer and feed prices for conventional farms and the risk of shortages: just some of the impacts the geopolitical shock in Ukraine will have on our agriculture. Is our food security threatened? What will happen to the EU's objective of transitioning towards a more sustainable European agriculture? The 16th episode of Food for Europe gives voice to farmers, takes stock of the situation on agricultural markets and looks at the support measures announced by the European Commission, as well as the fears of environmental activists.

16. #Ukraine: Russia's invasion of Ukraine: is our food security under threat?

L’invasion russe de l’Ukraine a mis en évidence les dépendances du monde agricole européen vis à vis de ces deux pays. Avant le 24 février, l’Union européenne importait de Russie 30% des engrais azotés utilisés pour ses cultures. Quant à l’Ukraine, elle livrait 30% des tourteaux de tournesol et 9% du maïs destinés à nos animaux d’élevage.Flambée des prix de l’énergie, des engrais et de l’alimentation des élevages conventionnels, risques de pénuries : quel impact peut avoir ce choc géopolitique sur notre agriculture ? Notre sécurité alimentaire est-elle menacée ? Que va-t-il advenir des objectifs de transition vers une agriculture européenne plus durable ? Le 16ème épisode de Nourrir l’Europe donne la parole aux agriculteurs, dresse un état des lieux de la situation sur les marchés agricoles et se penche sur les mesures de soutien annoncées par la Commission européenne ; ainsi que sur les craintes des défenseurs de l’environnement.

L’invasion russe de l’Ukraine a mis en évidence les dépendances du monde agricole européen vis à vis de ces deux pays. Avant le 24 février, l’Union européenne importait de Russie 30% des engrais azotés utilisés pour ses cultures. Quant à l’Ukraine, elle livrait 30% des tourteaux de tournesol et 9% du maïs destinés à nos animaux d’élevage. Flambée des prix de l’énergie, des engrais et de l’alimentation des élevages conventionnels, risques de pénuries : quel impact peut avoir ce choc géopolitique sur notre agriculture ? Notre sécurité alimentaire est-elle menacée ? Que va-t-il advenir des objectifs de transition vers une agriculture européenne plus durable ? Le 16ème épisode de Nourrir l’Europe donne la parole aux agriculteurs, dresse un état des lieux de la situation sur les marchés agricoles et se penche sur les mesures de soutien annoncées par la Commission européenne ; ainsi que sur les craintes des défenseurs de l’environnement.

16. #Ukraine : Invasion russe de l’Ukraine : notre sécurité alimentaire menacée ?

Die russische Invasion in der Ukraine hat die Abhängigkeit der europäischen Landw von diesen beiden Ländern deutlich gemacht. Vor dem 24. Februar importierte die Europäische Union aus Russland 30 % der Stickstoffdünger, die für ihre Feldfrüchte verwendet wurden. Die Ukraine lieferte 30 %  Sonnenblumenkuchen und 9 % des Maises für unser Viehzucht.Steigende Energie-, Düngemittel- und Futtermittelpreise für konventionelle Betriebe, drohende Engpässe: Welche Auswirkungen kann dieser geopolitische Schock auf unsere Landwirtschaft haben? Ist unsere Ernährungssicherheit bedroht? Was passiert mit den Übergangszielen hin zu einer nachhaltigeren europäischen Landwirtschaft? Die 16. Folge von Nahrung für Europa gibt Landwirten das Wort, zieht Bilanz über die Lage auf den Agrarmärkten und geht auf die von der Europäischen Kommission angekündigten, sowie die Befürchtungen von Umweltaktivisten, ein.

Die russische Invasion in der Ukraine hat die Abhängigkeit der europäischen Landw von diesen beiden Ländern deutlich gemacht. Vor dem 24. Februar importierte die Europäische Union aus Russland 30 % der Stickstoffdünger, die für ihre Feldfrüchte verwendet wurden. Die Ukraine lieferte 30 % Sonnenblumenkuchen und 9 % des Maises für unser Viehzucht. Steigende Energie-, Düngemittel- und Futtermittelpreise für konventionelle Betriebe, drohende Engpässe: Welche Auswirkungen kann dieser geopolitische Schock auf unsere Landwirtschaft haben? Ist unsere Ernährungssicherheit bedroht? Was passiert mit den Übergangszielen hin zu einer nachhaltigeren europäischen Landwirtschaft? Die 16. Folge von Nahrung für Europa gibt Landwirten das Wort, zieht Bilanz über die Lage auf den Agrarmärkten und geht auf die von der Europäischen Kommission angekündigten, sowie die Befürchtungen von Umweltaktivisten, ein.

16. #Ukraine: Russische Invasion in der Ukraine: Ist unsere Ernährungssicherheit bedroht?

70% des sols européens sont au bord de l’asphyxie. Face à l’urgence, l’Union européenne se mobilise : la mission « un pacte pour des sols sains en Europe » a pour objectif d’inverser la tendance. Jamais auparavant la question de la santé des sols n’avait suscité autant d’intérêt à un tel niveau politique.Le 15ème épisode de Nourrir l’Europe vous emmène à la rencontre d’acteurs impliqués dans la régénération des sols : agriculteurs, chercheurs, décideurs politiques ou encore activistes de la société civile. De l’agriculture de conservation à l’éducation, en passant par la recherche appliquée et l’innovation, ils nous font découvrir des approches forcément multiples, adaptées aux spécificités géologiques et climatiques d’un paysage agricole européen d’une grande diversité. Et surtout, ils nous rappellent qu’il n’est pas trop tard pour agir.

70% des sols européens sont au bord de l’asphyxie. Face à l’urgence, l’Union européenne se mobilise : la mission « un pacte pour des sols sains en Europe » a pour objectif d’inverser la tendance. Jamais auparavant la question de la santé des sols n’avait suscité autant d’intérêt à un tel niveau politique. Le 15ème épisode de Nourrir l’Europe vous emmène à la rencontre d’acteurs impliqués dans la régénération des sols : agriculteurs, chercheurs, décideurs politiques ou encore activistes de la société civile. De l’agriculture de conservation à l’éducation, en passant par la recherche appliquée et l’innovation, ils nous font découvrir des approches forcément multiples, adaptées aux spécificités géologiques et climatiques d’un paysage agricole européen d’une grande diversité. Et surtout, ils nous rappellent qu’il n’est pas trop tard pour agir.

15. #Sols en sursis : l’Europe se mobilise

With around 70 per cent of Europe’s soils in poor health, the European Union has launched the EU Soil Mission ‘A Soil Deal for Europe’ to reverse this deterioration and make soils more sustainable across the continent. The European Commission’s effort to coordinate this vital work recognises soil as the essential foundation of our food systems and rural livelihoods, but the strategy also promotes a decentralised, local approach to find solutions that reflect the vast diversity of ecosystems and soils in Europe.Episode 15 of Food for Europe travels to the Aisne départment in northeast France to speak to a cereal farmer making a commitment to conservation agriculture to safeguard the health of his soil. The podcast includes interviews soil experts from institutes in the Netherlands and Italy, an advocate from a leading NGO focusing on soil restoration and the head of unit for research and innovation at the European Commission’s DG AGRI.

With around 70 per cent of Europe’s soils in poor health, the European Union has launched the EU Soil Mission ‘A Soil Deal for Europe’ to reverse this deterioration and make soils more sustainable across the continent. The European Commission’s effort to coordinate this vital work recognises soil as the essential foundation of our food systems and rural livelihoods, but the strategy also promotes a decentralised, local approach to find solutions that reflect the vast diversity of ecosystems and soils in Europe. Episode 15 of Food for Europe travels to the Aisne départment in northeast France to speak to a cereal farmer making a commitment to conservation agriculture to safeguard the health of his soil. The podcast includes interviews soil experts from institutes in the Netherlands and Italy, an advocate from a leading NGO focusing on soil restoration and the head of unit for research and innovation at the European Commission’s DG AGRI.

15. #Soils in danger: Europe fights back

In der 15. Folge von "Nahrung für Europa" geht es um den Schutz unserer Böden. Wir treffen Landwirte, Forscher, politische Entscheidungsträger und Aktivisten der Zivilgesellschaft. Von der Agrarökologie bis zur Bildung, über angewandte Forschung und Innovation, es gibt vielfältige Ansätze um unsere Böden zu schützen. Vor allem werden wir daran erinnert, dass es noch nicht zu spät ist um zu handeln.

15. #Boden in Gefahr: Europa macht mobil

This episode of Food for Europe is dedicated to the new EU Organic Awards which will acknowledge different actors of the organic value chain- launch date for applications March 25 – and many of the issues surrounding organic production and consumption.Key speaker is Commissioner for Agriculture, Janusz Wojciechowski, who is joined by the awards partners and leading organic producers:Barbara Altmann (Rapunzel, German organic manufacturer and supplier),Kurt Sannen (Belgian organic livestock farmer and chair of the farmers’ interest group of the International Federation of Organic Agriculture Movements, IFOAM),Lone Andersen (Danish organic dairy farmer and a vice-President of the agriculture umbrella body COPA-COGECA), together with Peter Schmidt (President of the European Economic and Social Committee’s Agriculture, Rural Development and the Environment section), andUroš Brežan (Mayor of the small Slovenian town of Tolmin and representing the European Committee of the Regions).

This episode of Food for Europe is dedicated to the new EU Organic Awards which will acknowledge different actors of the organic value chain- launch date for applications March 25 – and many of the issues surrounding organic production and consumption. Key speaker is Commissioner for Agriculture, Janusz Wojciechowski, who is joined by the awards partners and leading organic producers:Barbara Altmann (Rapunzel, German organic manufacturer and supplier), Kurt Sannen (Belgian organic livestock farmer and chair of the farmers’ interest group of the International Federation of Organic Agriculture Movements, IFOAM), Lone Andersen (Danish organic dairy farmer and a vice-President of the agriculture umbrella body COPA-COGECA), together with Peter Schmidt (President of the European Economic and Social Committee’s Agriculture, Rural Development and the Environment section), and Uroš Brežan (Mayor of the small Slovenian town of Tolmin and representing the European Committee of the Regions).

14. #Organic: EU Organic Awards

Have you ever wondered how food in Europe is produced or where it comes from? ‘Food for Europe’ brings you stories, analysis, and in-depth interviews on agriculture, rural development, and the developments that are transforming the way we shop, eat and cultivate our precious, scattered farmland. Brought to you by the European Commission’s Directorate-General for Agriculture and Rural Development, the podcast will shed light on the most important European policies for food and agriculture and discuss the ambitions to become a greener and more sustainable Europe.© European Union, 2021

Folge 14 von Nahrung für Europa ist den neuen EU-Bio-Auszeichnugen  und vielen Themen im Zusammenhang mit ökologischer Produktion und ökologischem Konsum gewidmet. Die Anmeldungen sind ab 25. März  möglich.Die Gäste in diesem Podcast sind EU Kommissar, Janusz Wojciechowski, die verschiedenen Partner des Preises und die Bio-Produzenten, die gerne kandidieren möchten. Darunter Barbara Altmann (Rapunzel, deutscher Bio-Hersteller und Lieferant), Kurt Sannen (belgischer Biobauer und Präsident der Interessengruppe der Bauern der International Federation of Organic Agriculture Movements, IFOAM), Lone Andersen (dänischer Bio-Milchbauer und Vizepräsident des landwirtschaftlichen Dachverbands COPA-COGECA),Peter Schmidt (Vorsitzender der Fachgruppe Landwirtschaft, ländliche Entwicklung und Umwelt des Europäischen Wirtschafts- und Sozialausschusses) und Uroš Brežan (Bürgermeister der slowenischen Kleinstadt Tolmin und Mitglied des Ausschusses der Regionen).

Folge 14 von Nahrung für Europa ist den neuen EU-Bio-Auszeichnugen und vielen Themen im Zusammenhang mit ökologischer Produktion und ökologischem Konsum gewidmet. Die Anmeldungen sind ab 25. März möglich. Die Gäste in diesem Podcast sind EU Kommissar, Janusz Wojciechowski, die verschiedenen Partner des Preises und die Bio-Produzenten, die gerne kandidieren möchten. Darunter Barbara Altmann (Rapunzel, deutscher Bio-Hersteller und Lieferant), Kurt Sannen (belgischer Biobauer und Präsident der Interessengruppe der Bauern der International Federation of Organic Agriculture Movements, IFOAM), Lone Andersen (dänischer Bio-Milchbauer und Vizepräsident des landwirtschaftlichen Dachverbands COPA-COGECA), Peter Schmidt (Vorsitzender der Fachgruppe Landwirtschaft, ländliche Entwicklung und Umwelt des Europäischen Wirtschafts- und Sozialausschusses) und Uroš Brežan (Bürgermeister der slowenischen Kleinstadt Tolmin und Mitglied des Ausschusses der Regionen).

14. #Bio: EU-Bio-Auszeichnungen

L'épisode 14 de Nourrir l’Europe est consacré aux nouveaux Prix européens de la production biologique qui récompenseront différents acteurs de la chaîne de valeur biologique - date de lancement des candidatures le 25 mars - et à de nombreux problèmes liés à la production et à la consommation biologiques.Les invités dans ce podcast sont le commissaire européen, Janusz Wojciechowski, qui est rejoint par les partenaires des prix et les principaux producteurs biologiques : Barbara Altmann (Raiponce, fabricant et fournisseur bio allemand)Kurt Sannen (éleveur bio belge et président du groupement d'intérêt des agriculteurs de la Fédération internationale des mouvements d'agriculture biologique, IFOAM), Lone Andersen (productrice laitière biologique danoise et vice-présidente de la COPA-COGECA), ainsi que Peter Schmidt (président de la section Agriculture, développement rural et environnement du Comité économique et social européen), et Uroš Brežan (Maire de la petite ville slovène de Tolmin et membre du Comité européen des régions).

L'épisode 14 de Nourrir l’Europe est consacré aux nouveaux Prix européens de la production biologique qui récompenseront différents acteurs de la chaîne de valeur biologique - date de lancement des candidatures le 25 mars - et à de nombreux problèmes liés à la production et à la consommation biologiques. Les invités dans ce podcast sont le commissaire européen, Janusz Wojciechowski, qui est rejoint par les partenaires des prix et les principaux producteurs biologiques : Barbara Altmann (Raiponce, fabricant et fournisseur bio allemand)Kurt Sannen (éleveur bio belge et président du groupement d'intérêt des agriculteurs de la Fédération internationale des mouvements d'agriculture biologique, IFOAM), Lone Andersen (productrice laitière biologique danoise et vice-présidente de la COPA-COGECA), ainsi que Peter Schmidt (président de la section Agriculture, développement rural et environnement du Comité économique et social européen), et Uroš Brežan (Maire de la petite ville slovène de Tolmin et membre du Comité européen des régions).

14. #Bio : Prix européens de la production biologique

Alors que les campagnes européennes se vident et vieillissent, « Nourrir l’Europe » se penche sur la stratégie de développement à long terme adoptée par la Commission européenne pour les zones rurales. Si l’agriculture représente un versant essentiel de la vie rurale, elle ne peut garantir à elle seule la prospérité des communautés. La vision à long terme pour les zones rurales veut dépasser le seul cadre économique. Une première dans l’histoire de l’Union européenne. L’ambition affichée est de rendre la vie des petites localités plus durable, prospère et attrayante, y compris pour les jeunes.Ce type d’approche a déjà fait déjà ses preuves en Italie. Le 13ème épisode de « Nourrir l’Europe », vous emmène dans la région d’Émilie Romagne, à la rencontre d’un jeune producteur de parmesan très investi dans la mise en valeur du terroir, ainsi que d’un architecte revenu de Londres pour développer l’écotourisme dans cette région de montagne.

Alors que les campagnes européennes se vident et vieillissent, « Nourrir l’Europe » se penche sur la stratégie de développement à long terme adoptée par la Commission européenne pour les zones rurales. Si l’agriculture représente un versant essentiel de la vie rurale, elle ne peut garantir à elle seule la prospérité des communautés. La vision à long terme pour les zones rurales veut dépasser le seul cadre économique. Une première dans l’histoire de l’Union européenne. L’ambition affichée est de rendre la vie des petites localités plus durable, prospère et attrayante, y compris pour les jeunes. Ce type d’approche a déjà fait déjà ses preuves en Italie. Le 13ème épisode de « Nourrir l’Europe », vous emmène dans la région d’Émilie Romagne, à la rencontre d’un jeune producteur de parmesan très investi dans la mise en valeur du terroir, ainsi que d’un architecte revenu de Londres pour développer l’écotourisme dans cette région de montagne.

13. #Ruralite : Vers une ruralité européenne prospère et attrayante

So manche ländliche Gebiete in Europa altern  und veröden, “Nahrung für Europa” mit der langfristigen Entwicklungsvision der Europäischen Kommission für ländliche Gebiete.Obwohl die Landwirtschaft ein wesentlicher Aspekt des ländlichen Lebens ist, kann sie allein nicht den Wohlstand der Gemeinden garantieren. Die langfristige Vision für ländliche Gebiete will über den rein wirtschaftlichen Rahmen hinausgehen. Eine Premiere in der Geschichte der Europäischen Union. Erklärtes Ziel ist es, das Leben in Kleinstädten nachhaltiger, wohlhabender und attraktiver zu machen, auch für junge Menschen.Diese Vorgehensweise hat sich in Italien bereits bewährt. Die 13. Folge von "Nahrung für Europa" führt Sie in die Region Emilia Romagna, wo Sie einen jungen Parmesanproduzenten treffen, der sich sehr für die Präsentation des Terroirs einsetzt, sowie einen Architekten, der aus London zurückgekehrt ist, um den Ökotourismus in dieser Bergregion zu entwickeln.

So manche ländliche Gebiete in Europa altern und veröden, “Nahrung für Europa” mit der langfristigen Entwicklungsvision der Europäischen Kommission für ländliche Gebiete. Obwohl die Landwirtschaft ein wesentlicher Aspekt des ländlichen Lebens ist, kann sie allein nicht den Wohlstand der Gemeinden garantieren. Die langfristige Vision für ländliche Gebiete will über den rein wirtschaftlichen Rahmen hinausgehen. Eine Premiere in der Geschichte der Europäischen Union. Erklärtes Ziel ist es, das Leben in Kleinstädten nachhaltiger, wohlhabender und attraktiver zu machen, auch für junge Menschen. Diese Vorgehensweise hat sich in Italien bereits bewährt. Die 13. Folge von "Nahrung für Europa" führt Sie in die Region Emilia Romagna, wo Sie einen jungen Parmesanproduzenten treffen, der sich sehr für die Präsentation des Terroirs einsetzt, sowie einen Architekten, der aus London zurückgekehrt ist, um den Ökotourismus in dieser Bergregion zu entwickeln.

13. #Laendlichegebiete: Europäische ländliche Gebiete sollen wohlhabender und attraktiver werden.

As Europe's rural population ages and diminishes in size, Food for Europe looks at the EU's Long Term Vision for Rural Areas.  The EU spends around a third of its budget to support farming, but agriculture is just one of many elements that must be present for rural communities to thrive. Digital connectivity, transport networks, public services, shops, schools, healthcare and jobs are all indispensable elements for life in the countryside. The EU's Long Term Vision for Rural Areas therefore looks beyond farming and economics towards a future where more people - especially young people - want to remain, and to move to, rural areas for their attractiveness and prosperity. Some Member States are more advanced than others in protecting and promoting their rural heritage. In this 13th episode of Food for Europe, we travel to the central Italian region of Emilia Romagna to demonstrate the Italian government's efforts - supported by EU rural development funds - to revive and expand opportunities for rural communities. We meet a young producer of the local delicacy, parmigiano reggiano, who chose farming over a legal career, and we meet an architect who’s returned to Italy from London to develop a rural innovation hub in this mountainous region.

As Europe's rural population ages and diminishes in size, Food for Europe looks at the EU's Long Term Vision for Rural Areas. The EU spends around a third of its budget to support farming, but agriculture is just one of many elements that must be present for rural communities to thrive. Digital connectivity, transport networks, public services, shops, schools, healthcare and jobs are all indispensable elements for life in the countryside. The EU's Long Term Vision for Rural Areas therefore looks beyond farming and economics towards a future where more people - especially young people - want to remain, and to move to, rural areas for their attractiveness and prosperity. Some Member States are more advanced than others in protecting and promoting their rural heritage. In this 13th episode of Food for Europe, we travel to the central Italian region of Emilia Romagna to demonstrate the Italian government's efforts - supported by EU rural development funds - to revive and expand opportunities for rural communities. We meet a young producer of the local delicacy, parmigiano reggiano, who chose farming over a legal career, and we meet an architect who’s returned to Italy from London to develop a rural innovation hub in this mountainous region.

13. #Rurality: Working for a more attractive and prosperous countryside in Europe

Anlässlich der französischen EU-Ratspräsidentschaft nimmt „Nahrung für Europa“ die Landwirtschaft in Frankreich genauer unter die Lupe. Das erste Portrait von 27.  Auch wenn generell der Altersdurchschnitt in der Branche steigt - die Rückkehr zur Scholle ist bei jungen Menschen in Mode. Unter einer Voraussetzung: Sie wollen im Einklang mit der Umwelt arbeiten, in landwirtschaftlichen Betrieben mit überschaubaren Dimensionen. Die 12. Folge unserer Podcast-Serie über die Welt der Landwirtschaft führt Sie ins Departement Cantal im Herzen der Auvergne. Dort lernen Sie französische Landwirte kennen. Die von heute – und die von morgen. CO2-arme Landwirtschaft, Gegenseitigkeit der Standards zwischen den Handelspartnern, Umsetzung der neuen Gemeinsamen Agrarpolitik: Das sind die Prioritäten der französischen Präsidentschaft für die europäische Landwirtschaft. Aber entsprechen sie auch den Erwartungen der Branche in Frankreich?

12. #Frankreich: Porträt einer Landwirtschaft im Wandel

La présidence française du Conseil de l’Union européenne est l’occasion pour « Nourrir l’Europe » de dresser un portrait de l’agriculture française, la première des 27. Si le secteur est vieillissant dans l’Hexagone, le retour à la terre est dans l’air du temps chez les jeunes, mais avec un impératif : réconcilier les pratiques avec l’environnement, dans le cadre d’une agriculture à taille humaine. Le 12ème épisode de notre série de podcasts consacrée au monde agricole vous emmène dans le département du Cantal, en plein cœur de l’Auvergne, à la rencontre des agriculteurs de la France d’aujourd’hui et de demain. Agriculture bas-carbone, réciprocité des standards entre partenaires commerciaux, mise en œuvre de la nouvelle Politique agricole commune : les priorités de la présidence française pour l’agriculture européenne sont-elles en ligne avec les attentes du secteur en France ?

12. #France : portrait d’une agriculture en transition

The French presidency of the Council of the European Union is an opportunity for Food for Europe to draw a portrait of French agriculture, the largest farming sector in the EU 27. If the sector in France is aging generally, among young people entering it a “return to earth” has become highly fashionable. But with one imperative: to reconcile farming practices with the environment, and on a human scale. The twelfth episode of our series of podcasts dedicated to the world of agriculture in Europe takes you to the Cantal department, in the heart of Auvergne, to meet the farmers of France of today and tomorrow. Low-carbon agriculture, matching of standards between trading partners, implementation of the new Common Agricultural Policy: all are the priorities of the French presidency for European agriculture. But how do they line up with the expectations of the sector on the ground?

The French presidency of the Council of the European Union is an opportunity for Food for Europe to draw a portrait of French agriculture, the largest farming sector in the EU 27. If the sector in France is aging generally, among young people entering it a “return to earth” has become highly fashionable. But with one imperative: to reconcile farming practices with the environment, and on a human scale. The twelfth episode of our series of podcasts dedicated to the world of agriculture in Europe takes you to the Cantal department, in the heart of Auvergne, to meet the farmers of France of today and tomorrow. Low-carbon agriculture, matching of standards between trading partners, implementation of the new Common Agricultural Policy: all are the priorities of the French presidency for European agriculture. But how do they line up with the expectations of the sector on the ground?

12. #France: portrait of an agriculture in transition

L’édition de Noël de « Nourrir l’Europe » revisite la tradition sous l’angle de la qualité et de la durabilité. Nous vous emmenons en Charente-Maritime, en France, à la rencontre d’un ostréiculteur dont les huîtres, les Marennes-Oléron, bénéficient de l’Indication géographique protégée (IGP) européenne. A Bruxelles, Julia, de la boucherie Wesley, nous fait découvrir la Kelly Bronze, une race de dinde à croissance lente, élevée en plein air. Le chocolatier belge, Pierre Marcolini, nous parle du rush de Noël et de son engagement en faveur du commerce équitable. Et dans les Ardennes, nous suivons une famille venue couper elle-même son sapin de Noël, sur l’exploitation agro-écologique de la famille de Wouters.

11. #Noël : Et si Noël devenait durable ?

The Christmas edition of Food for Europe looks at festive foods and farm products from the perspective of sustainability, tradition and quality. We travel to Charente-Maritimes in France to meet an oyster farmer whose bivalves benefit from an EU Protected Geographical Indication. We meet Julia and Wesley, butchers in Brussels selling slow-growing, forage-feeding turkeys. We hear from master chocolatier Pierre Marcolini as he manages the mad Christmas rush. And we meet Anne-Sophie, who cultivates Christmas trees in the Ardennes.

11. #Christmas: What about a sustainable Christmas?

Have you ever wondered how food in Europe is produced or where it comes from? ‘Food for Europe’ brings you stories, analysis, and in-depth interviews on agriculture, rural development, and the developments that are transforming the way we shop, eat and cultivate our precious, scattered farmland. Brought to you by the European Commission’s Directorate-General for Agriculture and Rural Development, the podcast will shed light on the most important European policies for food and agriculture and discuss the ambitions to become a greener and more sustainable Europe. © European Union, 2021

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